On commence en Italie, à la rencontre de Dead Rituals. Des riffs de guitare puissants, une ligne de basse qui percute, un rythme effrené et un texte savamment écrit. Une voix qui nous semble familière. Dès qu'on l'entend, on a presque envie de dire "oh, ça nous avait manqué"! Car ça nous rappelle un peu les morceaux de Placebo au tout début des années 2000. Sauf que c'est moins sombre. La chanson est extraite d'un premier EP appelé "Dead Rituals". Oui, vous avez bien lu. Un premier EP. Difficile à croire que c'est le premier, tant la production est géniale et les mélodies abouties. Du beau travail pour une première.
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Vous savez, quand on est blogueur, on sait tout de suite si on va aimer une chanson pour vous la partager ou pas. Dès les premières secondes. Et dès que la mélodie de Tiny Kingdoms a commencé à résonner dans notre casque, on savait qu'on allait la publier. Un peu comme une évidence. En même temps, avec une chanson pêchue, percutante, efficace, avec un clip vidéo très soigné et professionnel, que nous aurait-il fallu de plus? Rien. Ce morceau a tout pour faire un tube. Du moins c'est que l'on souhaite à ce groupe venu de Chicago. Par contre, on vous prévient : ça va vous rester dans la tête pendant des heures. C'est addictif!
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Attention, ne vous fiez pas aux premières secondes de l'intro. C'est loin d'être un morceau calme, que l'on vous propose! Voila du son indie-rock puissant, proposé par Himalayas, un groupe venu du Royaume-Uni et plus précisément de Cardiff. Le morceau traite d'un sujet d'actualité, puisqu'il s'agit du Brexit, qui est une grande masquarade, comme on l'a tous vu, et la chanson le résume parfaitement! Un groupe qui monte, puisque son précédent single a quand même accumulé plus de 16 millions d'écoutes sur Spotify. Une belle performance. Et quand on voit la qualité proposée, ce n'est pas étonnant. Des guitares puissantes, un chant qui se lâche mais tout en maîtrise, et une mélodie qui accroche. Vous l'aurez encore dans la tête ce soir en vous couchant! La bonne nouvelle, c'est que, Brexit ou pas Brexit, on pourra toujours continuer à dénicher des perles comme celles-ci au Royaume-Uni, car Internet n'a pas de frontière.
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On retraverse l'Atlantique, direction Buffalo, dans l'état de New York, à la rencontre de Kevin Scoma, qui sort son premier EP "Into the Weeping Sea", dont est extraite cette chanson. Difficile à croire que ce sont les premières productions de l'artiste, car c'est très travaillé et très abouti. Il a notamment eu la chance de partager la scène avec Portugal The Man (rappelez-vous du tube "Feel It Still"), et a couché sur le papier son éveil spirituel. "I Was Never Afraid to Die", traduisez par "Je n'ai jamais eu peur de mourir", s'ouvre sur une guitare acoustique et des harmonies vocales réussies. Avec une construction en crescendo comme on les aime, où se mélangent guitare électrique, guitare acoustique et des choeurs parfaits, le morceau est une vraie réussite.
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On reste aux Etats-Unis et on traverse tout le pays, direction la Californie, avec Ian McFarland. Un artiste qui a pas mal vadrouillé pour véhiculer ses bonnes ondes et sa musique, jusqu'en Espagne, où il a joué à Barcelone. Et il prévoit d'ailleurs de bouger vers New York à la rencontre d'autres artistes et inspirations musicales. Un artiste voyageur, qui, a enregistré cette chanson sur la route entre Los Angeles et New York City et plus précisément à... Nashville! Evidemment! La ville aux milles chanteurs. Aujourd'hui, Ian pose ses valises en France pour vous présenter "When We First Met". Vous vous rappelez forcément de la première rencontre avec une personne? C'est un moment qui marque. Voila le thème de ce titre indie-rock au refrain entraînant et à la mélodie accrocheuse. On a adoré et on a tué le bouton "Replay". Maintenant, à vous d'en faire autant! Un artiste qu'on va surveiller, car son évolution est très positive et intéressante!